Historique
Dès
1728, le déplacement des européens à travers la révolution industrielle a
permis aux Etats Unis d’Amérique de développer son économie. En 1920, cette
économie se voit renforcée dans les
industries lors de la deuxième révolution et soutenue par la première guerre
mondiale. Les Etats Unies d’Amérique faisait parti des alliés, mais leurs
territoires n’a pas connu le théâtre de
la guerre comme fut le cas des pays Européens. La crise de 1929 ne fera que le
ralentir. Le même scénario lors de la deuxième guerre mondiale va lui permettre
de dominer le monde. Même l’attaque des japonais de Pearl Habor ne s’est pas
ressentir sur l’économie. Ils furent le financeur numéro un du monde par Les
tonnes de lingots d’or emmagasinés qui faisait les 2/3 du stock mondial. Etant
le fournisseur du monde, il développe les secteurs de son économie tels que
l’agriculture, l’élevage, et l’industrialisation. Ainsi ils imposent un nouveau
système monétaire, donnant valeur au dollar contrairement à d’autres unités monétaires.
Il devenait à cet effet la monnaie la plus forte du monde.
En
1950 le PIB des Etats Unies était 27,3%, soit 1 455 milliards de dollars
internationaux. La masse monétaire M2 en janvier 1960 était de
298,2 milliards de dollars; en janvier 1970, il est de 589,6 milliards et en
janvier 1980 de 1 482,7 milliard. Pendant 10 ans, l’économie n’a souffert
d’aucune instabilité. De 5,2% en
moyen en 2000 est montée en 2008.
En 2008 le monde a connu une crise financière
qui prit naissance en 2007 aux Etats
Unis.
Les causes de la crise
Les prêts Hypothécaires furent l’élément majeur
du déclenchement de la crise. Les banques américaines faisaient
des prêts pas avec l’argent
déposés pas l’emprunteur mais avec des promesses de remboursements. L’incapacité
du payement de ses prêts engage la perte de ses biens tels que la maison, la
voiture. Mais arrivé à un certain moment
le taux des prêts était supérieur
au taux du payement du dépôt. Ces dépôts
se font en métaux précieux et
autres objets de valeurs. Avec la montée
des rumeurs de ce fait, plusieurs déposants fortunés sont venus réclamés
leurs métaux et objets de valeurs. Ainsi
les banques s’écroulent créant une très grande fausse dans l’économie.
Mise à part les
banques d’autres facteurs ont contribué
à cette crise.
·
Le transfert des actifs des banques au marché
·
la création d'actifs complexes et opaques
·
l’incapacité des agences de notation à évaluer les risques des actifs
·
l’application de normes comptables dite de « faire value »
·
les défaillances des régulateurs et des superviseurs à corriger les failles dans un contexte où la finance est
largement "déréglementée" et mondialiser.
·
Le déséquilibre de la balance commerciale
américain qui les avait poussé à emprunter
des sommes colossales chez le chinois, japonais et aux pays pétroliers.
On
parlera de l’endettement des États Unies. La dette publique sera évaluée à plus
de 150 000 milliards de dollars avec un taux de chômage de plus de 10%.
Le Fonds
monétaire international (FMI) avait estimé
que la dette publique des États-Unis devrait atteindre 100 % du PIB à la fin
de l'année 2008, 105 % en 2012, et continuer de progresser jusqu'à 115 % en 2016.
La
résolution de la crise
Pour
rééquilibrer l’économie mondiale, un plan de sauvetage a été lancé aux États
Unis, en Europe et dans d’autres pays du monde. Les Etats Unis lancent le plan
Paulson. Le président Barack Obama fait voter par le congrès 825 milliards de
dollars sur une période de deux ans pour la relance de l’économie. Un plan dont
les acteurs seront les banques et le gouvernement. Le gouvernement décide
d’aider les banques afin de les apurer de leurs actifs toxiques. Pour permettre
l’efficacité du plan le président opte pour l’investissement dans des secteurs
comme l’éducation, l’énergie et les nouvelles infrastructures.
La reprise
Aux États-Unis, le PIB a progressé de
0,9 % au cours du troisième trimestre 2009 à 3,2%. Les économistes font
une estimation de la croissance de l’année 2014
entre 2,8% et 3,2%. On constate également une réduction miraculeuse du
taux de chômage de 6,6%.
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